TOP 5 DES CONSEILS POUR ÉVITER OU RÉDUIRE LES ACCIDENTS DE TRAVAIL

1. DONNER DU SENS À LA SÉCURITÉ

Si vous souhaitez réduire les accidents de travail, la toute première chose à faire, c’est de donner du sens à la sécurité. Trop souvent les règles de sécurité sont vues comme des contraintes qui freinent la productivité et l’efficacité. Nous conseillons de bien identifier quelle est la perception de la direction mais aussi des managers et chefs d’équipe et enfin des autres salariés de l’entreprise. (Fullmark a développé un diagnostic culture sécurité qui vous donne une vision claire et complète). On est parfois surpris de voir que les visions des uns et des autres n’est pas toujours alignée. Un bon diagnostic permettra de mettre en place un plan d’action adapté à votre entreprise. Ce plan d’action aura pour but premier de donner (ou re-donner) du sens aux règles de sécurité et aux attitudes et comportements pro-sécurité dans l’entreprise.

2. FORMER CHACUN DE FAÇON ADAPTÉE

Même si cela peut sembler paradoxal, la sécurité et la motivation liée à la sécurité n’est pas toujours innée. Si vous souhaitez éviter ou réduire les accidents de travail, il est indispensable de passer par la case « formation ». Le tout est de déployer un programme de formation structuré et cohérent qui « embarque » tout le monde dans l’aventure de façon positive. Ici aussi, on touche à l’ADN de Fullmark qui a inventé une approche unique de « safety coaching » et de nombreux « ateliers sécurité » pour toucher chacun de façon juste et adéquate.

Nous vous invitons également à découvrir la célèbre méthode « SMART-Safety » qui a déjà permis à ces milliers d’entreprises de réduire drastiquement le nombre d’accidents. Ce n’est pas une affirmation à la légère, il suffit de lire nos témoignages pour le vérifier de la bouche de nos clients.

3. RAPPELER LES MESSAGES CLÉS AU NIVEAU SÉCURITÉ

Nous vivons dans un monde où tout change tout le temps. Dans de nombreux domaines, ce qui était vrai hier ne l’est plus aujourd’hui. Il est dès lors impératif de rappeler et rappeler sans cesse les règles et les messages clés en matière de sécurité si vous souhaitez réellement éviter ou réduire les accidents de travail sur vos sites. C’est pour être certain que personne ne puisse dire « je ne savais pas » que Fullmark attache beaucoup d’importance aux campagnes visuelles de sensibilisation à la sécurité. Dans ce domaine aussi, il ne faut pas improviser ! Si vous vous y prenez mal, si vous communiquez de façon inadaptée, vous faites parfois plus de mal que de bien. Seul un professionnel peut vous construire un plan de communication structuré et efficace.

4. IMPLIQUER CHACUN

De nombreuses études (dont les célèbres expérience réalisées par Robert-Vincent Joule et Jean-Léon Beauvois (La soumission librement consentie. Comment amener les gens à faire librement ce qu’ils doivent faire ? Edité aux Presses Universitaires de France) montrent que plus vous impliquez les personnes, plus elles auront le comportement attendu. Expliquer et impliquer est nettement plus efficace qu’imposer. Ce qui ne veut pas dire qu’il ne faut pas de règles bien entendu ! Former les chefs d’équipe et le management à réussir à faire respecter les règles de façon constructive est d’ailleurs un aspect clé dans les programmes de formation déployés par Fullmark. Impliquer chacun, c’est aussi impliquer et responsabiliser l’ensemble de la ligne hiérarchique.

5. FAIRE DE LA SÉCURITÉ UN VALEUR CLÉ

Certaines entreprises considèrent la sécurité comme une priorité. Cela part d’une bonne intention évidemment, mais le problème c’est que les priorités évoluent et changent par définition. Il vaut donc mieux considérer la sécurité comme une valeur clé. Une valeur qui se voit dans toutes les actions et tous les comportements de l’entreprise. La vigilance partagée est par exemple un excellent moyen d’impliquer tout le monde dans le déploiement de cette valeur sécurité.

Les neurosciences nous ont également appris l’importance de la répétition des messages liés à la sécurité si l’on veut créer de véritables « autoroutes neuronales » vers les bons comportements. Car on sait que, la majorité du temps, notre cerveau fonctionne en mode « automatique » et que dès lors il suit les habitudes bien établies. Le challenge est d’installer les « bonnes » habitudes en lieu et place des mauvais réflexes.

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